Du nihilisme à la vie.
De la négation de tout à l’amour du rien.
Du vide existentiel totalement plein de tout et de rien à un vide salvateur qui permet tout.
D’une illusion démasquée à la joie de jouer l’illusion.
De l’absence de sens comme le sens commun à l’absence de ce besoin de sens.
Tu questionnement éternel, éternellement terni à la lumière d’un foisonnement de questions sans réponse.
D’un doute comme miracle créateur duquel surgit l’inconnu à l’inconnu comme permanent.
Retrouver ce regard oublié de celui qui ne sait pas qu’il ne sait rien, celui qui jouit d’apprendre, voilà l’ouverture de la conscience…